Dan était parti de la Maison tôt, l'ayant laissée seule, puisque sa femme était partie en voyage depuis assez longtemps et qu'elle risquait d'y resté longtemps et que Nathan avait désormais sa propre demeure, piètre, mais Dan s'en foutait.
Il était vêtu d'un beau costard neuf, voulant faire impression devant ses clients, toujours aussi nombreux. Plusieurs voulaient acheter des voitures, tandis que d'autree voulait seulement bavarder avec le propriétaire, c'est-à-dire lui.
Il était à son bureau présentement, en train de classer quelque dossiers tout en buvant son café. Il n'était pas revenu du travail depuis 2 semaines, puisqu'il s'était permis de se payer quelques vacances. Il se demandait bien ce que Nathan était désormais, puisque depuis 4 ans qu'il n'avait pas eu des nouvelles de lui. Pour Lucas, il s'en foutait. Karen était assez responsable pour pouvoir l'élever, mais pas aussi bien qu'il aurait pu le faire, bien sûr.
Il prit une gorgée de sa tasse avant de remettre son nez dans ses paperasses. Facture, feuille de la conscession, dossiers d'acheteurs... Il n'y avait pasa grand chose. Tout en soupirant, il s'enfonça dans son fauteuil pour se prendre une nouvelle gorgée, plus longue, de son café. Tout en prenant sa petite pause, il pensa.
Quatre ans qu'il n'avait pas vu son fils. Il se demandait bien ce qu'il était. La dernière fois qu'il l'avait vu, Nathan n'avait pas cru en son espoir de reconstruire une famille, malheureusement. Il était parti dans sa demeure, assez pauvre. Dan avait décidé de le laissé aller, se tordant de rire devant toutes les épreuves que Nathan traversaient avec difficulté.
Dan était parti de Tree Hill pour une bonne année, se disant que quelques vacances lui plairaient. À son retour, il s'était payé 2 semaines de plus, mettant sa conscession entre les mains de son fils, qu'il avait embauché avant son départ, puisqu'il faisait assez pitié à se tordre les mains en espérant qu'il resterait quelques petites pièces dans son cochon.
Dan reprit vite à la réalité. Il finit sa tasse et se leva. Tant pis pour le travail, il allait voir comment ses hommes se débrouillaient.